Sonia surfait peinarde sur Fessestivites à la recherche d’un homme qui pourrait devenir son Maître mais sa timidité maladive l’empêche pour l’instant d’aller jusqu’à la rencontre. A défaut de BDSM réel, elle s’érotise les sens en visionnant les vidéos postées par les membres.

Dans les histoires érotiques, Sonia a découvert que des gens comme elle pratiquent seuls en faisant du selfbondage. N’ayant que peu de moyen, le seul matériel dont elle dispose c’est d’une paire de menottes achetées sur ABCplaisir puis de rouleaux de scotch qu’elle chipe à son travail.

Etendue sur son lit, après avoir vu une superbe vidéo de selfbondage, elle décide de s’offrir un moment de rêve. Sans même se dévêtir, elle entreprend de lier ses chevilles avec le scotch puis de se faire un bâillon avant de menotter ses mains dans son dos. Les clés de ses menottes sont sur la moquette, elle n’aura qu’à descendre du lit et ramper un peu pour aller les attraper et se libérer après quelques contorsions.

Sonia gesticule sur son lit pour fuir les mains imaginaires des hommes qui l’ont enlevée. Ses hommes usent et abusent sans vergogne en caressant ses seins puis ses parties intimes, l’un d’eux vient de sortir son sexe et s’apprête à la baiser.

Soudain, un bruit dans son appartement brise son rêve érotique pour en faire un cauchemar. Quelqu’un est entré chez elle !

Son premier réflexe est de tirer sur les menottes et sur ses liens, gestes bien inutiles mais instinctifs, les entraves ne cèdent pas. Un homme cagoulé pénètre dans sa chambre et s’approche d’elle. Le cœur de Sonia bât la chamade, elle a tellement peur qu’elle se met à transpirer, elle qui ne transpire jamais. Le cambrioleur s’approche d’elle, à chacun de ses pas, la respiration de Sonia s’accélère. Quand il monte sur le lit, elle croit défaillir, l’homme va la baiser ou pire encore, la tuer. En respirant comme une folle en proie à une crise de nerf, le scotch bandant sa bouche commence à se décoller, elle va pouvoir hurler et appeler du secours.

Le cambrioleur s’en aperçoit, plaque immédiatement la main sur sa bouche pour l’empêcher de hurler puis se saisit du scotch pour la faire taire en faisant plusieurs fois le tour de sa tête avec le ruban adhésif qui plaque fortement sur sa bouche. Sonia fait des « non » désespérés de la tête mais il n’en a que faire et lui malaxe les seins à pleines mains.

L’horreur s’installe dans la tête de Sonia, le doute sur les intentions du cambrioleur n’est plus possible, elle va y passer et peut-être même mourir. Au lieu de cela, il abandonne sa poitrine opulente pour se saisir du scotch afin de lier ses bras le long de son corps avant de lui voler son téléphone portable posé sur la table de nuit.

Abandonnée sur le lit devenu le siège des horreurs à venir, le cambrioleur repart dans l’appartement pour voir s’il peut prendre quelques bricoles faciles à emporter. L’appartement n’est pas celui d’une personne riche, il n’y a pas grand-chose à voler. Il ne prend que le billet de 20 euros qu’elle a dans son porte-monnaie car la pauvreté de l’appartement de cette fille seule lui fait de la peine.

Sonia se démène dans ses liens, finit par descendre du lit ou plutôt tomber tant elle s’affole pour aller attraper les clés de menottes qu’il n’a pas vues. Elle rampe comme une dératée quand soudain dans son champ de vision des pieds apparaissent. Sonia craque et se met à pleurer toutes les larmes de son corps.

A travers ses yeux embués de larmes, elle le voit se saisir des clés qu’il agite devant son visage avant de lui faire voir qu’il les jette dans le couloir. Soulevée à bras le corps elle est portée sur le lit où il lui retire son jean malgré les vaines tentatives de résistance. La culotte de Sonia suit hélas le pantalon exposant au regard de son agresseur et beau fessier délicieusement dessiné par la mère nature. Convaincue que l’heure d’y passer vient de sonner, Sonia se démène mais il la plaque contre lui pour lui donner une fessée.

Cette fessée ne dure pas, il voulait juste s’amuser un peu mais dans la tête de Sonia, toute l’horreur de la situation s’installe à nouveau quand il la pousse pour la faire rouler sur le lit. Elle s’imagine déjà le pire mais au lieu de ça, il se lève, lui fait un coucou de la main en lui souhaitant de bien s’amuser.

• Je ne te laisse pas ma carte de visite, mais si tu veux que je t’attache, je peux revenir ! Ne t’inquiète pas, je ferme la porte en partant. Lui dit le cambrioleur.

Etendue sur le lit, elle n’ose espérer qu’il lui dise la vérité, cette fois vaincue et épuisée elle attend son heure. Le claquement de la porte la tire de cette torpeur. Sonia rampe sur le lit, se laisse tomber sur la moquette puis rampe à nouveau pour aller voir si elle ne rêve pas. Arrivée à la porte de sa chambre, épuisée et vidée de toute énergie, elle constate avec soulagement qu’il est bien parti. Derrière la porte d’entrée elle aperçoit les clés de ses menottes sur le carrelage.

Elle se met à ramper avec l’énergie du désespoir, ses fesses nues glissent sur le carrelage froid, ce froid lui donne une monstrueuse envie de faire pipi. La lutte entre sa vessie et son cerveau est rude, ramper encore puis s’asseoir pour essayer de voir le trou des serrures des menottes est fatal à la continence. Sonia se fait pipi dessus avant même de s’être libérée.

Trois jours plus tard, elle regrette presque qu’il ne lui ait pas laissé sa carte de visite !

Ecrivaillon

Cette histoire est inspirée d’une vidéo postée par Self Tortur

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

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